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mercredi 16 avril 2025

Gaston VIDAL Parcours politique difficile

BONJOUR,

L'argent ne fait pas le bonheur....et bien souvent, il est source de malheur.

Gaston VIDAL  député de la Loire,  a eu un parcours pour le moins difficile.


Né à Saint Étienne (Loire) le 19 octobre 1888 (1 H)
Natif de la BALANCE où siège également le perturbant URANUS en opposition de la LUNE
il est ASC LION ; SATURNE est conjoint à l'ASC.
on aura donc remarqué SATURNE en Maison 12 au carré de MERCURE et de VÉNUS.
JUPITER est en opposition de NEPTUNE et de PLUTON tous les 2 en Maison 10

Ancien instituteur, il enseigne à l'école primaire supérieure de MOULINS. 
22° SCORPION sur lequel se situe VÉNUS natale en Maison 4 dans le thème 
Un torrent bondit de roche en roche comme sur un étroit escalier et disparaît en bas dans les sables.

Sportif avéré, il est incorporé en 1914 dans les chasseurs alpins. Il obtient les galons de capitaine.  Combattant brillant durant la première guerre mondiale, il est placé hors cadre en 1917 suite à ses blessures. 

PLUTON rétrograde est sur le 5° GÉMEAUX : "un homme d'aspect digne et bon, vêtu d'un costume de Ministre d'État, tend la main à un délégué qui s'incline respectueusement devant lui."

Il est Conseiller municipal de VICHY en 1919, élu Député Républicain-Socialiste en Novembre 1919. Il est lié aux organisations du Sport de compétition et préside l'UFSA  avant sa dissolution en 1920. Il a des idées laïques et souhaite unifier les Gauches sur cette base. 
En 1919, il a fondé sa Banque et fait de la spéculation boursière sa spécialité. 
Il se marie en octobre 1921 avec Yvonne CARLO.
Il est Sous secrétaire d'État à l'instruction Publique et aux Beaux-Arts, chargé de l'enseignement technique (17 janvier 1921-28 mars 1924) sous les gouvernements BRIANT (1921) et POINCARÉ (1922).
Il fait pression pour que les services de l'Éducation Physique soient rattachés au Ministère de l'Instruction sous ses ordres et non à celui de la Guerre sous les ordres de Henry PATÉ. Membres des mêmes commissions, ces deux-là ne s'entendent pas obligatoirement. En 1920 sous la direction de PATÉ, il est question d'hygiène ; en 1922, VIDAL devenu sous-secrétaire, il est désormais question de sport. Il y aura bientôt une entrée en force des organisateur de compétitions professionnelles et des entrepreneurs privés de spectacles sportifs (qui sont également à la tête de journaux.)
Fin mai 1924 et en 1928, ayant changé de circonscription, il n'est plus élu Député.
Il fut Conseiller général de MOULINS (Est) jusqu'en 1925.
Il redevint Conseiller général de VICHY de 1927 à 1928.

On trouve l'explication de l'Affaire : 

La difficile introduction en Bourse de la société Snia Viscosa. Cette affaire fut une suite de ce que l’on a appelé le scandale Oustric. Le 26 mars 1926, Gaston Vidal, ancien député et ancien sous-secrétaire d’État, devenu administrateur de la banque Oustric, demanda, pour le compte de celle-ci, l’autorisation d’introduire en France 500000 actions de la société italienne Snia Viscosa, qui exploitait une importante usine de soie artificielle. Le ministère des Finances ne pouvait faire droit à cette demande qu’en dérogeant à sa doctrine. Depuis plusieurs années, en effet, il n’autorisait plus l’introduction d’aucune valeur étrangère sur le marché français. C’est pourquoi, dès la première visite que lui rendit Gaston Vidal, M. Moret, directeur du Mouvement général des fonds, observa : « Tant que je serai à la tête du Mouvement des fonds, cette affaire ne se fera pas. » Mais, assuré, sans doute, de disposer de précieux appuis, Gaston Vidal lui répondit : « Elle se fera, Monsieur le directeur. » Il fallait, en tout état de cause, instruire le dossier. A cette fin – et comme le siège de la société était en Italie – le ministère sollicita l’avis de René Besnard, ambassadeur de France à Rome. Aussitôt, Gaston Vidal se rendit dans la capitale italienne, pour appuyer personnellement de son autorité la demande adressée au diplomate. De fait, celui-ci répondit, le 22 avril, qu’il n’avait « pas d’objection à formuler » à l’introduction en Bourse des actions de la société Snia Viscosa. Mais le directeur du Mouvement des fonds, soucieux de ne pas modifier, de son propre chef, la politique économique définie par le gouvernement, soumit le problème à Raoul Péret, ministre des Finances, par une note qui se terminait ainsi : « J’estime […] qu’il n’y a pas lieu d’accorder l’autorisation sollicitée et, si le ministre partage ma manière de voir, je le prierai de vouloir bien revêtir de sa signature la lettre ci-jointe adressée à la banque Oustric. » Mais, loin de se rallier comme il le faisait ordinairement aux conclusions du directeur du Mouvement des fonds, le ministre lui répondit, de sa main : « M. René Besnard, ambassadeur de France à Rome, nous a recommandé tout particulièrement cette affaire. Il insiste pour que l’autorisation soit accordée. » On sollicita, en conséquence, l’avis du ministère du Commerce, qui se déclara, lui aussi, hostile à la demande d’introduction. La cause paraissait entendue lorsque – pour des motifs étrangers à la banque Oustric – Aristide Briand, président du Conseil, décida de remettre la démission de son gouvernement. Aussitôt Raoul Péret, bien que, comme ses collègues, il fût seulement chargé d’assurer les affaires courantes, adressa au Quai d’Orsay un courrier « très urgent », dans lequel il indiquait que l’ambassadeur de France à Rome lui avait déclaré qu’il était « très favorable à l’autorisation », alors qu’en réalité René Besnard avait indiqué qu’il n’avait « pas d’objection à formuler »… Le ministère des Affaires étrangères demeura, néanmoins, prudent et estima qu’avant de se prononcer il fallait « obtenir des assurances sérieuses » quant à la réalisation d’un accord entre les industries textiles française et italienne. Le 23 juin 1926, dès réception de cette lettre, datée du 22, Gaston Vidal remettait à Raoul Péret un courrier du banquier Oustric indiquant qu’il se déclarait prêt à faciliter l’étude et la conclusion d’accords relatifs au développement de l’industrie française. C’est sur une assurance aussi vague que Raoul Péret, sachant que ses jours ministériels étaient comptés, donna l’autorisation sollicitée avec insistance par le banquier. Le ministre devient l’avocat de la banque Oustric. La banque Oustric fut mise en faillite en 1930 (après la crise d'Octobre 1929). Faillite qui s'avère frauduleuse. Le directeur fut incarcéré. On nomma une Commission d'enquête. 
L’affaire vint à l’audience du Sénat constitué en Haute Cour le 20 juillet 1931 et, par un étonnant caprice du destin, Joseph Caillaux siégeait parmi les juges. Le procureur général prit des réquisitions sévères, mais l’audition des témoins ne laissa pas à l’affaire la gravité qu’on supposait. En particulier, M. Moret, directeur du Mouvement général des fonds à l’époque de l’autorisation, déclara qu’il ne croyait pas que Raoul Péret eût agi par faveur. Après de courtes plaidoiries, la Haute Cour, siégeant sous la présidence d’Albert Lebrun (qui devait être élu, quelques mois plus tard, président de la République), prononça un arrêt d’acquittement, le 23 juillet 1931. Elle estima que « les preuves rapportées sur les conditions dans lesquelles M. Gaston Vidal, démarcheur audacieux, […] abusant de son ancienne situation de parlementaire et de sous-secrétaire d’État, a obtenu une autorisation […], si elles amènent les plus légitimes préoccupations, n’entraînent pas […] la certitude que M. Raoul Péret se soit déterminé par faveur ». Néanmoins, elle ajouta que « la Cour de justice, en écartant l’application de l’article 183 aux personnes qui lui sont déférées comme auteurs et complices, ne peut que constater avec un profond regret et dans un sentiment de vive réprobation les pratiques déplorables qui ont été révélées ». 

Considérés comme complices : Gaston VIDAL, René BESNARD, Albert FABRE, furent visés par les poursuites. Cependant, il sera acquitté en 1931.

Retourné au journalisme, il se trouve mêlé à d'autres affaires douteuses et d'autres condamnations vont suivre. (émission de chèques sans provisions, escroquerie).
Sortant de chez Mme LEMPEREUR soeur de son beau-frère, il est arrêté 2 rue du Château à Neuilly ; il a été conduit devant le Juge d'Instruction après qu'on lui ait notifié le mandat dont il fait l'objet.(arrêt rendu contre les dirigeants de "la France Équatoriale Minière et Industrielle" qui les condamne  à 3 ans de prison et 2 000 frcs d'amende alors qu'en première instance la condamnation était d'un an et 1 000 frcs d'amende) 
Par la suite, il ne se consacrera qu'à des affaires commerciales. 
Son attitude pendant la période d'Occupation de la deuxième guerre mondiale reste ambiguë  mais n'entraîne pas de condamnation. 

Gaston VIDAL est mort en 1949 ;

Bonne Lecture,
isalucy23@orange.fr


mercredi 14 juin 2017

des CAS non élucidés...Monomères.

BONJOUR,

On a eu l'occasion d'observer différents aspects qui se sont retrouvés chez l'un, Grégory VILLEMIN, et l'autre, Bernard LAROCHE,MARS et PLUTON en carré chez l'un, en conjonction chez l'autre, ou encore VÉNUS-PLUTON en carré chez l'un et en opposition chez l'autre....et en commun un carré NEPTUNE JUPITER
Thème Natal de Grégory VILLEMIN
Thème Natal de Grégory VILLEMIN

Cette affaire jamais éclaircie a suscité maints remous....
16 h 52 sa mère, Christine VILLEMIN sort de la Manufacture de confection dans laquelle elle travaille.
Elle arrive chez la "nounou", Mme Christine JACQUOT, deux minutes plus tard, au 19 Gais Champs, Bâtiment 4 ; Mme VILLEMIN qui a prévu de faire son repassage, ne s'attarde pas ; son fils part tête nue de chez son assistante maternelle avec sa mère, monte dans la Renault 5 noire et rentre vers 16 h 58, au 4 rue des champs. Elle a croisé auparavant rue de Bellevue, Mme GRANDIDIER et M. Bernard COLIN. En arrivant, Grégory insiste pour jouer dehors, sa mère va lui chercher son bonnet. Elle met la radio, "les Grosses têtes" ont commencé, elle fait son repassage.
17 h 04 M. COLIN passe avec son chien devant la maison et n'y voit ni la voiture, ni l'enfant dans le jardin.
Mme CLAUDON part (en méhari, selon une 1ère déclaration : avec son mari) (2ème déclaration : avec M. Claude COLIN à bord d'une Golf Blanche) à sa pâture pour rentrer ses bêtes, chemin dit de la Bure, vers 17 h 15.
ils croisent un véhicule venant de la rue des champs, rangé à l'entrée d'un champ où était implantée une éolienne -du fait de l'étroitesse de la rue des champs- Elle reconnut le conducteur, homme moustachu assez corpulent, portant un pull jacquard, et sa passagère : une femme aux cheveux roux, comme pouvant être Bernard LAROCHE et Murielle BOLLE. (sans jamais faire état de deux autres enfants)


Barrière et voiture sont utilisées pour permettre aux animaux de sortir.
17 H 20 Mme CLAUDON remonte avec son troupeau ; elle est interpellée par Christine VILLEMIN qui lui demande si elle a vu son fils. Apercevant un autre voisin, M. MÉLINE, à 20 m d'elles,  elle demande à Christine VILLEMIN de s'enquérir auprès de lui s'il l'a vu. Ni Mme MÉLINE, interpellée par son époux, ni M. COLIN qui passe sur le chemin n'ont vu Grégory.


Dans le même temps, une lettre a été postée avant 17 h 15 (jusqu'à quelle heure effectivement a eu lieu l'oblitération des lettres ?) ; cette lettre revendiquant le crime aurait-elle pu être postée avant que le crime n'ait lieu ? (1ère levée : 16 h 40)


Le criminel aurait-il pris le risque de poster la lettre sans avoir encore perpétré son geste ? 
NON sans doute pas. Détenait-il déjà l'enfant, sans l'avoir encore noyé ? Avait-il un comparse ?



À ce moment-là, la lettre semble ne faire état que d'une éventuelle disparition.... pas forcément de mort.

La famille VILLEMIN subissait depuis Mai 1981 (année du décès de Marcel LAROCHE père de Bernard LAROCHE) des appels d'un CORBEAU (silences, musique, rires de filles). D'abord, les grands-parents VILLEMIN à AUMONTZEY, puis certains des enfants VILLEMIN. Un air de musique revenait régulièrement : "Chef, un p'tit verre on a soif"..ou encore : "J'ai le mal de toi"..... Les appels se faisant de plus en plus violents, grossiers, sordides, et associés à des actes de malveillance (pneus crevés, vitre brisée, fausses commandes, envoi de cercueil...) des plaintes avaient été déposées et des enregistrements des appels étaient faits. S'ensuivent alors des lettres. 

CORBEAU ou CORBEAUX....Ils pourraient être deux ; on parle d'une voix féminine un temps, une voix éraillée, rauque, mais les propos tenus parlent de viol, de relations sexuelles antérieures avec la mère de Jean Marie VILLEMIN  qu'il insulte copieusement, ne peuvent venir que d'un homme. Un homme tenu parfaitement au courant des affaires de la famille, tant celles des grands parents que celles des parents ou des enfants VILLEMIN. Un CORBEAU qui dévoile le nom du vrai père de l'aîné des enfants VILLEMIN....Mais un CORBEAU qui après avoir semé la zizanie dans la famille VILLEMIN  prend la peine en 1983 d'annoncer qu'il cesse ses agissements.. jusqu'à ce 16 Octobre 1984, où ce CORBEAU-là s'en prend à l'enfant du "Chef".

Jaloux, envieux, vulgaire, menaçant, il sait qu'il n'a pas fait mouche quand il a parlé de violer Christine VILLEMIN à qui il a déjà tendu un traquenard et qui prend ses dispositions désormais quand son mari est absent pour dormir chez sa mère. Cependant quand le CORBEAU menace de s'en prendre à l'enfant...il a touché au plus fort Jean Marie VILLEMIN.

Vers 17 h 32, à 8 kms des lieux, le CORBEAU revendique chez le frère de Jean Marie VILLEMIN, le meurtre de l'enfant qu'il aurait étranglé et noyé...Il précise : "sa mère est en train de le chercher" Comme à chacun de ses appels, il semble suivre les faits et gestes de ceux à qui il s'en prend.
L'appel téléphonique n'est pas enregistré par Michel VILLEMIN (qui vit avec son épouse dans une maison à côté des grands-parents VILLEMIN).


Jean Marie VILLEMIN prévenu sur son lieu de travail par sa mère, Monique JACOB-VILLEMIN est rentré chez lui où il retrouve Christine paniquée, en pleine crise de larmes, au téléphone avec les gendarmes (près de M. MÉLINE) ; il est rejoint par les parents de Christine -prévenus également par Monique JACOB.
Christine et Jean Marie VILLEMIN
Christine et Jean Marie VILLEMIN
Jean-Marie VILLEMIN qui a débuté les recherches autour de la maison avec son père et son frère lui fait répéter le message du CORBEAU. Il prend conscience tardivement que celui-ci ne lui a pas tout dit.
"J'ai téléphoné à côté, mais ça ne répond pas. Alors je te téléphone pour te dire que je me suis vengé. J'ai pris le fils du chef. Je l'ai étranglé et je l'ai jeté dans la VOLOGNE."

La VOLOGNE...est à plus d'un kilomètre ; prévenu par le maire, les pompiers s'y rendent en aval à DOCELLES, alors qu'ils partent en amont. Mais finalement, après avoir conduit son frère Michel à l'usine où travaille son épouse, Jean Marie VILLEMIN revient chez lui.....
21 H 30, le corps ligoté de l'enfant est sorti de la VOLOGNE.

Comme la LUNE en VERSEAU sur le 14°degré nous le dit : "un pont brisé au-dessus d'un torrent qui roule des eaux tumultueuses, et sur le bord, comme pour le traverser un homme tient dans sa main un de ses pieds coupé"
Grégory VILLEMIN retrouvé dans la Vologne
Son petit corps blanc laisse penser qu'il a été victime d'hydrocution ; rendu inconscient il aurait respiré dans l'eau et aurait ingéré cette eau avant de décéder d'un arrêt cardiaque....Autant de versions en tout genre ont été émises et celle-ci en fait partie.


Et NEPTUNE en SAGITTAIRE en Maison VIII va faire hurler tous les détracteurs de l'astrologie en m'accusant de simplification ; bien sûr ils auront raison. Mais alors que veut nous dire NEPTUNE si ce n'est ce risque d'asphyxie, de coma ou de noyade au moment de la mort...Primaire direz-vous !

On apprend que ses poignets bien que ligotés ne sont pas abîmés et d'en conclure qu'il ne s'est pas débattu. Aurait-il été plongé -via un médicament : de l'éther, de l'insuline peut-être- dans un coma profond, avant d'être déposé dans la VOLOGNE ? la rigidité de la bouche situe la mort 3 h à 4 h maxi avant la découverte du corps ; 
si l'on admet que l'enfant a pu être plongé dans un coma  auparavant (20 minutes) -grâce à l'insuline dont la seringue retrouvée est de la marque utilisée par Jeanine BOLLE -mère de Marie Ange LAROCHE,.....c'est donc en plein jour que le méfait a été commis.
Mais par QUI ? et d'où ? Du chemin TACHET comme certains témoignages tendraient à le prouver ?


De très nombreux témoignages et dénonciations parviennent aux gendarmes et  au juge.
Mais la conviction du premier juge va créer un nouveau drame.

Le Juge Jean Michel LAMBERT

Les familles VILLEMIN et JACOB se divisent encore un peu plus à la suite du témoignage de Muriel BOLLE, une jeune adolescente de 15 ans qui vit chez sa soeur : Marie Ange et son beau-frère : Bernard LAROCHE, cousin de Jean Marie VILLEMIN. Cette jeune fille est reconnue franche par son entourage et son professeur qui assure que son raisonnement est logique. En tant que GÉMEAUX on pourra dire d'elle qu'elle est curieuse, avide d'expériences nouvelles (PLUTON-JUPITER-URANUS) et sans doute concrète et pointilleuse (amas en VIERGE)

Thème de Muriel BOLLE - Astrologie
thème de Muriel BOLLE
fourni par Astrothème
Muriel BOLLE accuse son beau-frère


Selon sa première version, elle serait rentrée avec son beau-frère, Bernard LAROCHE qui serait venu la prendre avant qu'elle ne prenne le car scolaire à la sortie du CES de BRUYÈRES. C'était pour elle une toute première fois. 
Ses camarades de classe assurent qu'elle n'était pas dans le car scolaire, l'ayant vu monter dans un véhicule de type 305 gris-vert. Le conducteur du car n'était pas le chauffeur habituel et revenant sur ses déclarations plus tard, suite aux pressions de sa famille, Muriel BOLLE ignorait la chose et n'a pas su le décrire.
Le chemin emprunté par Bernard LAROCHE serait venant du CES de Bruyères, Champs le Duc, Beaumesnil, Lépanges ....c'est là  que Bernard LAROCHE se serait arrêté et qu'elle n'aurait vu que le toit de la maison 
M et Mme GRÉMILLET demeurant rue de Bellevue, disent avoir aperçu une voiture monter vers la rue des Champs entre 17 h 05 et 17 h 10.
Selon Muriel BOLLE ils seraient repartis dans l'autre sens vers DOCELLES avec l'enfant au bonnet.


Mais POURQUOI à DOCELLES ?
Pourquoi risquer de se faire remarquer dans une bourgade alors que l'on peut trouver un lieu plus retiré qui donne sur la VOLOGNE ? à moins de bien connaître les lieux et de savoir où aller ? où trouver un endroit hors de portée des regards !
(http://www.ina.fr/video/CAB8401356901)
Bernard LAROCHE se serait arrêté sur une place (serait-ce la Place de l'Espine ?) et serait descendu avec l'enfant avant de revenir seul et de repartir vers Aumontzey en passant par Bruyères. 
Il serait 17 h 30 à leur retour et il s'absente environ 1/2 heure.
Était-il parti téléphoner ? Serait-il le CORBEAU ? 

Une question : Quel intérêt les gendarmes avaient-ils à inventer une histoire pareille ? Les alibis de Bernard LAROCHE dont on dit qu'il est secret, prudent et calculateur, étaient déjà boiteux. Des trous dans son emploi du temps et dans celui de son épouse le mettaient déjà à mal, tout comme les preuves des écrits (foulage, expertises des graphologues) et des cassettes trouvées chez lui.

Bernard LAROCHE - Thème Astral
Thème de Bernard LAROCHE
sans l'heure exacte de naissance, il est établi par Astrothème pour 12 h

22°VERSEAU : VÉNUS : Un taureau furieux piétine un chien qu'il vient d'éventrer et, à quelque distance, un homme se penche sur un cadavre...sa victime ? ....ou un sujet d'études ?
ce degré peut aussi bien signer un degré de mort violente, victime d'un assassinat autant qu'auteur d'un crime.

25° LION : PLUTON : à l'orée d'une belle forêt derrière un champ qu'un homme laboure à l'aide de deux boeufs solides et dociles

Bernard LAROCHE est reconnu travailleur. Mais l'orée du bois...... n'est ce pas le nom du lieu situé juste à côté de la maison des VILLEMIN où on l'aurait vu avec Muriel BOLLE selon M.COLIN et Mme CLAUDON ? ....ce champ où Grégory aimait se rendre observer les veaux.

Grégory : une petite vie brisée contre une fatalité collective. 
SOLEIL en demi carré (48°-orbe + 3°) de PLUTON.

Grégory VILLEMIN
Grégory VILLEMIN un enfant enjoué


VÉNUS sur le 16° du CANCER dans le thème de Grégory :
Un nouveau SAMSON menace d'ébranler les colonnes d'un temple ; à ses pieds sur l'escalier est un LION mort et plus bas un hérisson pose sa petite patte sur un serpent mort.

La faiblesse de SAMSON : ses cheveux. 
Consacré  à Dieu dès sa naissance, cet ange propose une énigme...


JUPITER sur le 16° VIERGE dans le thème de Grégory
Un vieillard élégant, dans son joli cottage, cueille de beaux raisins à la treille qui grimpe le long de la façade.
Ce degré nous parle de vigne bien sûr mais surtout de longévité et de descendance. 
Or Grégory n'en a pas. 
Alors que doit-on comprendre de ce degré généalogique : un problème familial ? lié à la filiation ? où une énigme qui dure dans le temps ?

Le problème de descendance semble être au coeur des "revendications" du CORBEAU.
Le frère aîné : Jacky VILLEMIN, enfant naturel légitimé par le mariage d'Albert VILLEMIN et Monique JACOB fut souvent traité de "bâtard" par le CORBEAU. 
Jacky VILLEMIN  fut élevé chez les grands-parents JACOB avec Bernard LAROCHE (dont la mère : Thérèse JACOB était décédée à sa naissance, en 1956). 
Dans ses revendications, le CORBEAU réclame que la mise à l'écart de Jacky cesse : 



QUI souhaite ainsi voir rétablir l'ordre des valeurs ?

le 27° de VIERGE où se trouve SATURNE dans le thème de Grégory VILLEMIN : Une boutique de menuisier : établi sur lequel on voit nombre d'outils en mauvais état, et, à un bout, le patron, les bras ballants, l'air morne, tandis qu'un ouvrier, l'air rayonnant, s'agrippe à l'autre bout de l'établi et fait mine de l'attirer à lui.

Ce degré fait état également d'une menuiserie ; du PATRON (ou du Chef), d'un problème de motivation ou de maladie alors qu'un ouvrier veut prendre sa place ; problème de hiérarchie ? problème de cessation d'activité, de perte d'activité ?

Maladie ? :
Marie Ange LAROCHE venait d'épuiser ses droits auprès de la S.S. pour avoir cumulé 100 jours d'arrêts maladie en 1984. 
Roger JACQUEL, beau père de Jacky VILLEMIN,  malade des poumons, dont la voix rauque et essoufflée aurait pu être celle du CORBEAU, disposait d'une 4L verte, a un temps été soupçonné. 

Chef : 
la chanson que le CORBEAU faisait entendre disait : "Chef, on a soif""Allez Chef, paie ton coup" une cassette identique  a été retrouvée chez Bernard LAROCHE.

Une menuiserie modeste dont la porte est largement ouverte mais le patron en barre l'entrée avec un bâton qu'il tient par le travers.

Pourquoi trouve-t-on une menuiserie vers le Barba à Docelles, rue des Costelles ? 
Existait-elle déjà en 1984 ? 
Y aurait-il un rapport avec le lieu où se serait rendu Bernard LAROCHE ?


PLUTON sur le 20° degré de la BALANCE dans le thème de Grégory VILLEMIN 
Un cloître, éclairé par le Soleil couchant, sous lequel un moine avance vers un petit autel où fume un encensoir.

MARS sur le 27° degré de la BALANCE dans le thème de Grégory
Un cottage rustique, mais coquet, dans un jardin simple et bien tenu par son propriétaire. Un beau cèdre ombrage un côté de la maison.

La famille VILLEMIN vit dans un chalet entouré d'un jardin bien entretenu. 
C'est dans le jardin que Grégory sera la dernière fois (selon les dires de sa mère) à jouer avant qu'il ne disparaisse. On est à l'orée d'un bois
Jean Marie VILLEMIN fait des envieux ; le CORBEAU fait état des achats -qu'ils estiment luxueux- de salon de cuir, d'une grosse commande de vin, d'un agrandissement de sa maison. 
C'est Michel VILLEMIN qui avait relaté à Bernard LAROCHE sa visite à son frère Jean Marie, 10 jours avant le rapt.
Michel VILLEMIN présente un retard et prend des cours de lecture avec une institutrice. 
Il est le dernier alibi de Bernard LAROCHE ; il est passé chez lui à 16 h 30 avant d'être allé chercher sa belle soeur (chose exceptionnelle dit-on) à la sortie de son lycée -afin de s'occuper de son propre fils : Sébastien (qui souffre d'un léger handicap suite à un kyste à la tempe qui a nécessité la pose d'un drain derrière l'oreille)

22° SCORPION sur lequel se situe URANUS natal en Maison 7 dans le thème de Grégory 
Un torrent bondit de roche en roche comme sur un étroit escalier et disparaît en bas dans les sables.

Étonnant tout de même que ce soit le couple LAROCHE qui ait été soupçonné dans cette affaire !

STOP...STOP...on arrête là notre petite interprétation qui n'amène pas de solutions, d'autant que nous n'avons pas tous les éléments...laissons l'enquête aux professionnels. 

Vous aurez remarqué tout de même que si l'on s'intéresse aux monomères, il y a quelques surprenants détails. On retentera l'expérience sur des cas moins graves.

Bonne Lecture,
isalucy23@orange.fr

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