BONJOUR,
SATURNE en Maison 12
Ils sont nombreux les porteurs de cette position :
Adolf HITLER, Pierre PALMADE, Heather LOCKLEAR, Joseph MENGELE, Jonathan DAVAL, Ryan O'NEAL, Gaston DOMINICI, Georges FRECHE, Guillaume SEZNEC, Jean Claude DUVALIER, Yann PIAT, Jacques MÉDECIN, Béatrice SAUBIN, Prosper PIPELIER, certains ont vécu une période d'incarcération.
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Nous avons eu plusieurs cas, des " Histoire singulière" dont celle d'un individu qui s'attribue le titre de marquis (qui revient à une autre branche de sa généalogie) et vit d'arnaques et d'affaires douteuses depuis tout temps.
Alain Jules Antonin Romain Louis Gaspard Sénéty de BERNARDY de SIGOYER est né le 14 février 1905, à 8 Heures du matin, à St DENIS de la Réunion. Sa mère décède l'année suivante.
Son père bien que né à St DENIS réside à BORDEAUX mais celui-ci décède très tôt (1912) si bien que leurs enfants se retrouvent orphelins. Alain a une soeur Hélène née quelques année plus tôt à Madagascar.
Le thème présente une conjonction SOLEIL-SATURNE à la lisière des maisons 11 et 12. Le SOLEIL sur un degré difficile : " un homme au visage sombre, une expression de rage furieuse dans toute sa personne, trépigne en agitant un poignard. ....Il tourne le dos à une grande bâtisse triste (prison ou asile)...
Natif du VERSEAU, le maître du signe est au M.C. en opposition du maître de l'ASC.
L'élément AIR (5) domine dans le thème, suivi de l'EAU (3) et du FEU (3), avec un léger manque de TERRE (1).
Alain de BERNARDY de SIGOYER est comptable, chauffeur, écrivain, magicien, homme d'affaires...Il a ouvert une école de magie noire en ESPAGNE et également dans la Vallée de la Chevreuse : Maison Rouge. On raconte que des personnes y auraient disparu. On l'accuse d'escroquerie et de malversations, également dans plusieurs pays d'EUROPE où il est connu comme le loup blanc.
Tant et si bien qu'en 1931, il est interpellé ; ses propos sont si farfelus (il prétend avoir mangé l'un des voyageurs) qu'il est interné à l'Hôpital Psychiatrique d'Hoerdt en Alsace.
L'enquête aboutira à un Non-Lieu et Alain De BERNARDY sortira de son cachot.
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Nous savons à quel point le VERSEAU tient à son indépendance...mais cela ne l'empêche guère de convoler en justes noces. Et c'est ce que fera notre natif, le 31 octobre 1939 à PARIS (2ème arr).
Il épouse Jeanine KERGOFF d'origine bretonne.
La FRANCE est en guerre avec l'ALLEMAGNE et bientôt envahie. Alain de BERNARDY qui a ouvert un restaurant Avenue de la Grande Armée à PARIS fait commerce d'alcool avec l'envahisseur.
Mi-collabo, Mi-résistant...il entretient avec sa femme des relations difficiles car l'homme est un infidèle. On racontera même qu'il aurait eu une liaison avec sa belle-mère. Toujours est-il qu'ils vivent séparés et qu'il lui alloue, de ce fait, une pension pour l'entretien de leurs deux enfants.
Alain de BERNARDY vit au 7 Bd de BERCY avec sa gouvernante : Irène LEBEAU (avec qui il a eu un enfant)
Le 29 mars 1944, plutôt que de se rendre chez son avocat, Jeanine KERGOFF vient à cette adresse lui réclamer sa pension qu'il omet quelque peu de lui verser ; on raconte qu'elle trouve son époux dans une relation très rapprochée avec sa gouvernante, au lit et qu'une scène éclate....
La mère de Jeanine, inquiète d'être sans nouvelle de sa fille, déposera plainte pour disparition inquiétante. Une enquête est ouverte. Le mari interrogé nie énergiquement.
Si l'homme est un menteur invétéré, la gouvernante soumise à un interrogatoire serré, elle, finit par avouer.
Mais il aura fallu deux ans pour obtenir les aveux ; elle aurait assisté au meurtre par étranglement de l'épouse et aurait pris part à la disparition de celle-ci. C'est elle qui finira par dire où se trouve le corps dissimulé sous un compteur d'eau, dans un entrepôt de BERCY appartenant à son amant.
Lui nie toujours et accuse même sa gouvernante d'avoir tué son épouse d'un coup de revolver....la police ne retrouver aucune trace de balles.
Le procès ouvert le 19 décembre 1946 en Assises le condamne à la peine capitale 4 jours plus tard. La gouvernante reconnue coupable de complicité, s'en tire avec une peine de prison.
Alain de BERNARDY de SIGOYER sera guillotiné le 11 Juin 1947 dans la cour de la prison.
Quelques jours plus tard, son avocat, Jacques ISORNI, sera réveillé en pleine nuit par un homme ressemblant trait pour trait à son client... On saura plus tard qu'Alain de BERNARDY de SIGOYER avait loué les services d'un comédien dans le cas où il serait condamné pour lui réclamer des comptes....
L'avocat dira : "il avait le regard du Diable"
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Frank SINATRA Jr fils du célèbre crooner Frank SINATRA et de sa première épouse, Nancy BARBATO. À quelques jours de fêter ses 20 ans, Il est enlevé contre une rançon conséquente que son père se précipite à verser. Il fut restitué à sa famille, vivant, deux jours plus tard.
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Jean Luc DELARUE fut interpellé en septembre 2010, dans son appartement où on avait découvert quelques grammes de cocaïne. Suspendu d'antenne en 2011, il entreprend une cure de sevrage et participe à des groupes de parole plusieurs fois par semaine. Il met ainsi fin à ses addictions : alcool, psychotropes, drogue.
11 clients dépendants du même réseau le fournissant avaient été condamnés en 2011 à plusieurs années de prison alors qu'il était hospitalisé dans un état sérieux (cancer du péritoine et de l'estomac).
Il décède le 23 août 2012 des suites de ce cancer sans avoir été présenté devant un Tribunal où il était attendu en février 2013 avec un autre prévenu malade également.
Son héritage a par la suite posé un problème ; les dispositions prises par J.L DELARUE vis-à-vis de son fils à qui il accordait la moitié de son héritage et sa nouvelle compagne : Anissa KHELIFI qui bénéficiait de l'autre moitié, alors que la gestion de l'héritage de son fils revenait à son collaborateur : Arnaud GACHY.
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Pierre PALMADE responsable d'un accident de la circulation le 10 février 2013, accident ayant entraîné l'hospitalisation de des trois passagers (dont un enfant de 6 ans) de la voiture percutée et la perte de l'enfant que la passagère portait en elle, a été mis en examen pour homicide et blessures involontaires en ayant fait usage de stupéfiants et en état de récidive.
Officiellement écroué à la maison de Fresnes, depuis le 27 février 2013, il a effectué sa détention provisoire à l'hôpital du Plessis Robinson, sous escorte policière, où il reçoit des soins pour un AVC.
Visé pour une deuxième enquête pour détention d'images pédopornographiques, son avocate a obtenu qu'il obtienne un transfert -durant un mois- dans un service d'addictologie
Criblé de dettes et propriétaire d'une immense maison, il a dû la mettre en vente.
En juillet 2023, il emménage à proximité de chez sa soeur, Hélène, et de sa mère, dans la région bordelaise.
Bonne Lecture,
Évelyne LUCAS
