BONJOUR,
Le SOLEIL est le 1er des deux luminaires,
il est le Maître du LION
Il est en exil en VERSEAU
Il est exalté en BÉLIER
Il est en chute en BALANCE
C'est le Moi Conscient, l'Activité, la Vie, le coeur, l'Amour, le rayonnement,
Il est l'image masculine du père,
du mari, du père, du fils aîné dans un thème féminin.
Une dominante solaire est signe d'assurance, de rayonnement, de sincérité, de loyauté, de courage, de noblesse.
PLUTON est en domicile dans le signe du SCORPION,
il est en exil dans le signe du TAUREAU,
il est en exaltation dans le signe du SAGITTAIRE,
il est en chute dans le signe des GÉMEAUX.
PLUTON sur le plan de la santé est en rapport avec les organes sexuels. Il incarne les maladies insidieuses, celles qui prolifèrent ou évoluent de manière sournoise.
La fin de vie (Maison 4) est importante et plus riche de créations.
QUI a PLUTON conjoint au SOLEIL en Maison 4 ?
HADÈS indique que si la planète est très mal aspectée, la mort peut survenir de façon mystérieuse, par violence, opérations (tumeurs, cancer...). Les accidents et la mort violente sont plus fréquents dans ces nativités que dans la moyenne des cas.
c'est le cas de Federico Garcia LORCA fusillé à 38 ans et dont la dépouille aurait été jetée dans une fosse commune
Le SOLEIL est le 1er des deux luminaires,
il est le Maître du LION
Il est en exil en VERSEAU
Il est exalté en BÉLIER
Il est en chute en BALANCE
C'est le Moi Conscient, l'Activité, la Vie, le coeur, l'Amour, le rayonnement,
Il est l'image masculine du père,
du mari, du père, du fils aîné dans un thème féminin.
Une dominante solaire est signe d'assurance, de rayonnement, de sincérité, de loyauté, de courage, de noblesse.
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PLUTON les forces de renouvellement, la transformation, les souterrains, le magma, la nuit, la Mort, l'occultisme le Noir lui va bien autant que la cécité ; le sali, le souillé, le vulgaire, la brute, sont autant de termes qui conviennent à PLUTON autant que mystère, secret, guerre, manipulation, noirceur, puanteur, salissure, crime d'où l'art dramatique ou l'épouvante.
Si VÉNUS et MARS représentent ou symbolisent le désir, l'un et l'autre, PLUTON, lui est le Sexe.
PLUTON est en domicile dans le signe du SCORPION,
il est en exil dans le signe du TAUREAU,
il est en exaltation dans le signe du SAGITTAIRE,
il est en chute dans le signe des GÉMEAUX.
PLUTON sur le plan de la santé est en rapport avec les organes sexuels. Il incarne les maladies insidieuses, celles qui prolifèrent ou évoluent de manière sournoise.
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HADÈS dans son livre PLUTON ou les grand mystères aux Editions BUSSIÈRE nous dit page 97 :
"Cette position est très importante" et "l'action est surtout sensible dans la 2ème partie de la vie...."La Maison 4 maison de racines, de famille, d'histoire, de la mère, du foyer,
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avec un tel destructeur (PLUTON) dans cette Maison 4 on peut craindre que les relations familiales soient détériorées -une guerre, une rivalité, un divorce, décès d'un des parents...-
Certains disent que l'on peut vouloir être le centre de toutes les attentions de la famille et que dans le même temps on essaye de se libérer du "joug familial".
On peut craindre un manque de liens avec les grands-parents qui nuit ainsi aux relations ou aux informations. Pour certains, il peut s'agir d'un secret sur les origines.
QUI a PLUTON conjoint au SOLEIL en Maison 4 ?
PÉTAIN, Amy SHAPIRO, ENZO ENZO, Bernard LACOMBE, Farley GRANGER, Darren GOUGH ainsi que TIM BURTON, ont cette position en maison IV
HADÈS indique que si la planète est très mal aspectée, la mort peut survenir de façon mystérieuse, par violence, opérations (tumeurs, cancer...). Les accidents et la mort violente sont plus fréquents dans ces nativités que dans la moyenne des cas.
c'est le cas de Federico Garcia LORCA fusillé à 38 ans et dont la dépouille aurait été jetée dans une fosse commune
ou de Francisco Sa CARNEIRO homme politique portugais mort à 46 ans dans le crash d'un avion (carré à l'ASC)
Dans le thème de Victor HUGO on peut dire que la planète aussi est mal aspectée (opposition de JUPITER et de SATURNE).
Dans cette Maison 4, maison de ses racines, de sa famille, de la fin de vie....que se passe-t-il ?
Les parents de Victor HUGO ont divorcé et c'est sa mère qui se charge de son éducation disputée par leur père qui les place (lui et ses frères) par deux fois, en pension. Cette influence familiale s'impose encore quand sa mère apprend les intentions de son fils d'épouser une amie de la famille. Une brouille s'installera et c'est seulement après le décès de sa mère qu'il pourra reprendre ouvertement les relations avec la jeune fille.
Les ennemis sont déjà et toujours là puisque quand le succès arrive, on trouve son cercle trop bruyant et le propriétaire le prie d'évacuer les lieux ; le voilà contraint de déménager...avant que la Révolution de 1830 impose de nouveaux changements et lui vaut : la censure et avec elle, s'envole la pension allouée par Louis XVIII. En 1848, nouvelles émeutes, nouveau changement politique et nouvelle irruption des émeutiers dans son logement Place des Vosges..qui le pousse à déménager et déménager encore..
Au gré de la politique, suite à ses écrits, en 1852, il est banni de France, s'exile dans un premier temps, vers Bruxelles puis à Jersey d'où il est chassé, il s'installe alors à Guernesey ; il ne retournera en France que 11 ans, après l'amnistie. Durant cette période d'exil, il est initié au spiritisme..expérience qui prend fin après la crise de démence d'un participant...mais plus sérieusement, il s'est appliqué à décorer la maison dont il est devenu l'acquéreur : Hauteville House porte en son intérieur toutes les marques H d'HUGO jusque dans le nom choisi de la maison. Du sous-sol à la charpente, il en a refait tous les plans avant de les mettre aux mains des maçons, peintres et tapissiers. Il a écrit à Viollet le Duc : "quel dommage que je sois poète, quel architecte j'aurais fait".
Les parents de Victor HUGO ont divorcé et c'est sa mère qui se charge de son éducation disputée par leur père qui les place (lui et ses frères) par deux fois, en pension. Cette influence familiale s'impose encore quand sa mère apprend les intentions de son fils d'épouser une amie de la famille. Une brouille s'installera et c'est seulement après le décès de sa mère qu'il pourra reprendre ouvertement les relations avec la jeune fille.
Les ennemis sont déjà et toujours là puisque quand le succès arrive, on trouve son cercle trop bruyant et le propriétaire le prie d'évacuer les lieux ; le voilà contraint de déménager...avant que la Révolution de 1830 impose de nouveaux changements et lui vaut : la censure et avec elle, s'envole la pension allouée par Louis XVIII. En 1848, nouvelles émeutes, nouveau changement politique et nouvelle irruption des émeutiers dans son logement Place des Vosges..qui le pousse à déménager et déménager encore..
Au gré de la politique, suite à ses écrits, en 1852, il est banni de France, s'exile dans un premier temps, vers Bruxelles puis à Jersey d'où il est chassé, il s'installe alors à Guernesey ; il ne retournera en France que 11 ans, après l'amnistie. Durant cette période d'exil, il est initié au spiritisme..expérience qui prend fin après la crise de démence d'un participant...mais plus sérieusement, il s'est appliqué à décorer la maison dont il est devenu l'acquéreur : Hauteville House porte en son intérieur toutes les marques H d'HUGO jusque dans le nom choisi de la maison. Du sous-sol à la charpente, il en a refait tous les plans avant de les mettre aux mains des maçons, peintres et tapissiers. Il a écrit à Viollet le Duc : "quel dommage que je sois poète, quel architecte j'aurais fait".
PLUTON dans cette maison 4 est sans doute quelque peu responsable du porche gothique de l'entrée.. Il n'a pas oublié le côté secret en prévoyant sous un grand lit du 2ème étage, un coffre immense capable de cacher un homme. Il a confié les travaux de sculpture à un habile ébéniste de l'île et s'est lui-même mis à pratiquer la pyrogravure....talent hérité d'un aïeul menuisier.
Il sera le dernier à quitter ce monde des vivants puisque sa mère est morte (juin 1821) peu avant qu'il ne se marie (octobre 1822), son père est mort 5 ans plus tard (janvier 1828), son frère Eugène meurt dans l'isolement de son internement en février 1837, Léopoldine sa fille meurt noyée seulement quelques mois après d'être mariée (Sept 1843) avec son époux, un oncle de celui-ci et un jeune cousin, En 1846, la fille de sa maîtresse âgée de 20 ans décède à son tour. En 1855, c'est Abel, son frère aîné qui décède. Son neveu, fils d'Abel, "Jules" décède en 1863, il était prêtre. Adèle est de santé mentale fragile, en 1863, elle fuit au Canada à la poursuite d'un impossible amour, est internée en 1872 au retour de la Barbade, sa femme est décédée entre temps en 1868 -il ne pourra suivre le cortège que jusqu'en Belgique- l'inhumation aura lieu à Villequier près de sa fille Léopoldine- il aura eu deux petits enfants du même prénom : Georges -le premier meurt d'une méningite à 1 an- une petite fille : Jeanne dont le père : Charles vient d'être condamné à la Prison pour ses écrits. Il décédera d'une crise d'apoplexie en mars 1871 alors que toute la famille s'apprête à rentrer en France, en pleine période de la Commune. HUGO deviendra le tuteur des enfants. Un projet de remariage avec François-Victor est émis mais ce second fils meurt en décembre 1873, à 43 ans. Sa petite nièce, petite fille d'Abel : Zoé meurt en Juin 1876 à Paris.
Sa maîtresse Juliette meurt en 1883 et lui-même décède en 1885.
Reste donc Adèle "ma pauvre fille Adèle, plus morte que les morts, hélas !", décédée en 1915 et son neveu, fils aîné d'Abel : Léopold -dcd en 1895- ainsi que ses propres petits-enfants, les deux enfants de Charles pour poursuivre son oeuvre.
C'est en suivant les traces de son père que Germaine BERTON devient militante syndicaliste anarchiste elle connaît la Première Guerre alors qu'elle est adolescente à la suite de quoi, elle devient anti-militariste. Son prétendant est mort durant la Guerre et son père en 1918.
On prétend qu'elle entretient de mauvaises relations avec sa mère.
Elle a recours à l'avortement et de ce fait, n'aura pas d'enfant lorsqu'elle épouse Paul BURGER quelques années plus tard.
Coupable du meurtre de Marius PLATEAU, elle sort innocente à la suite de son procès.
Son décès serait dû à une très forte dose de véronal.
Bonne Lecture,
Évelyne LUCAS
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