BONJOUR,
Aujourd'hui, nous traiterons d'un sujet plus léger....enfin peut-être car il s'agit de "lourd", de très lourd
quand on pense à ça....on y pense tous....sans exception....
Et on espère un jour que "ça nous tombera dessus" !
D'ailleurs, ça été fait pour ça.
Aujourd'hui, nous traiterons d'un sujet plus léger....enfin peut-être car il s'agit de "lourd", de très lourd
quand on pense à ça....on y pense tous....sans exception....
Et on espère un jour que "ça nous tombera dessus" !
D'ailleurs, ça été fait pour ça.
Elle, c'est la LOTERIE NATIONALE ; elle a été créée en 1933 pour venir en aide aux "Gueules cassées", honorables combattants de la Première Guerre, particulièrement touchés sur la face.
Leur Association a donc mis au point ce système -qui a bien failli disparaître, tant l'église s'insurgeait de voir autant d'argent dépensé par ses ouailles pour tenter de remporter le gros pactole- cette Loterie donc pour leur venir en aide.
Le tirage a lieu sous les flashs des photographes, journalistes et autres invités, en grandes pompes, le 7 novembre 1933, avec un gain record de 5 millions de francs (soit 3,4 M d'€) et le tout premier gagnant est un coiffeur qui exerce son activité, rue des Halles, dans la belle ville de Tarascon (13)....
Ville qui se trouve bientôt sous les feux des projecteurs, envahie par les journalistes.
On interviewe les heureux gagnants de la Loterie Nationale.
On diffuse à tout va leur nom, lieu d'activité, voire même de résidence.....
Avant même d'avoir encore perçu son gain, le coiffeur reçoit bon nombre de lettres ....non pas de félicitations.....mais de demandes d'argent.
Monsieur BONHOURE, la cinquantaine, qui se fait appeler : Paul, se prénomme en fait Antoine ; il est né sous le signe de la VIERGE dans le département de l'Hérault, en 1883.
Il a participé malgré sa petite taille (1,54m) à la Grande Guerre ; au R.I. il fut très vite réformé souffrant d'une bronchite, d'un amaigrissement et d'une faiblesse générale. Affecté dans les services auxiliaires dans l'escadron de train, il fut envoyé en renfort aux armées en 1917 puis retourna dans ses foyers.
À Tarascon où il vivait rue Marat, il rencontra Françoise Jeanne RICHARD, native de Tarascon, sa cadette de deux ans, avec qui il eut un fils : Jean (caché derrière sa mère, sur la photo) âgé de 11 ans au moment du gain.......
En 1933, son père et une nièce vivent avec eux.
Il prit le temps de raconter les circonstances de l'achat du billet gagnant par son assistant.....à qui il léguera son salon de coiffure quelques temps plus tard. Gêné d'avoir été "starisé" à outrance, le couple part s'installer loin des importuns, de l'autre côté du Rhône, à Beaucaire, dans une grande propriété de 50 hectares.
Ils y passèrent ensemble de nombreuses années..... gâchées par une seconde guerre mondiale.
Françoise Jeanne RICHARD mourut en mars 1951.
Cinq ans plus tard, en janvier 1956, à Tarascon, Antoine épousa une autre Françoise....
Françoise Adrienne CURTAIT. (MERCURE en BALANCE)
Un nouveau bonheur mais de courte durée. Antoine BONHOURE décéde le 30 juillet 1961.
Antoine (1883) sous le signe de la VIERGE & Françoise Jeanne née sous le signe du CAPRICORNE
Deux signes de TERRE dont l'élément est dominant pour chacun d'eux.
Chez l'un, un manque de FEU ; chez l'Autre, un manque d'EAU.
Chez l'un, une VÉNUS mercurienne (en VIERGE), chez l'Autre, une VÉNUS-MERCURE sérieuse.
Chez l'un, un SOLEIL conjoint à URANUS (2è Me de la M 5) ; ce dernier au trigone de NEPTUNE
Chez l'Autre, JUPITER en Maison 5 (jeux, plaisirs).
Chez l'Un, la LUNE est sur un degré de réussite, Chez l'Autre des planètes sur des degrés d'argent
et tous les deux sur des degrés d'Honneur
Bonne Lecture,
isalucy23@orange.fr
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire