mercredi 1 juin 2022

SET et MATCH !

 BONJOUR,

En fait pour lui, cela n'en a pas été un Bon Jour ! 

Rafaël NADAL, après un affrontement de 4 heures, contre le serbe Novak DJOKOVIC, a acquis sa place en demi finale.

Clap de Fin pour Novak DJOKOVIC qui avait enchaîné les sets gagnants depuis le 23 mai, devant le japonais, le  slovène, l'argentin, le slovaque,...


Le SOLEIL en GÉMEAUX était au mi-point de la conjonction SOLEIL-MERCURE natale en Maison 5 alors que MERCURE (r), maître du signe natal, est en maison 4, en TAUREAU. 

URANUS (16°19) aussi y est en Maison 4, trigone à l'ASC. 

VÉNUS en TAUREAU et en Maison 3 s'approche de sa position de naissance quant à elle.

MARS BÉLIER transite aujourd'hui sa LUNE natale en Maison 2. De quoi nous faire une petite colère ou de souffrir de l'estomac.

JUPITER BÉLIER (3°46) approche de sa LUNE natale (5°32)

SATURNE VERSEAU (25°14) et NEPTUNE (25°15) POISSONS s'approchent l'un d'un sextile et l'autre d'un carré à URANUS natal (25°42) en Maison 1.

PLUTON, est en Maison 1, en CAPRICORNE (28°22) 

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Le 3 juin, Rafaël NADAL affrontera l'allemand ZVEREV

Cette nuit, les étoiles étaient brillantes pour lui.

Le SOLEIL en GÉMEAUX (10°) était proche de son SOLEIL natal (12°47) en Maison 8 en opposition de SATURNE natal alors que MERCURE (r), maître du signe natal, est en maison 7, en TAUREAU. 

URANUS (16°19) aussi y est en Maison 7, dans l'orbe d'un sextile à VÉNUS natale. 

VÉNUS en TAUREAU et en Maison 6 dans une opposition à PLUTON natal.

MARS (5°23) et JUPITER BÉLIER (3°46) séjournent ensemble en Maison 5 dans l'orbe d'un carré à NEPTUNE natal. (5°01)

SATURNE VERSEAU (25°14) en Maison 4 s'avance dans un trigone à MERCURE natal.(26°19)

NEPTUNE (25°15) POISSONS a largement dépassé le carré à URANUS natal (20°42) en Maison 2

PLUTON est en Maison 3, en CAPRICORNE (28°22) est encore loin du carré à sa LUNE natale 0°17

La LUNE passait sur son MERCURE natal.


Espérons que ces 4 heures de match ne l'auront pas trop épuisé pour la demi-finale que les amateurs attendent avec impatience.

À suivre.

Évelyne LUCAS


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