BONJOUR,
L'argent, encore et toujours l'argent.
C'est ce qui a motivé Gabriel Adrien MARCHAND, 28 ans. Il est né dans les Vosges, dans le village de SEROCOURT dont son grand oncle est le maire.
Bonne Lecture,
Isalucy23@orange.fr
Thème astral, aspects, transits, Non Anniversaire, Maisons, Maîtrises, Monomères, carence, carré, opposition, Feu, Air, Terre, Eau, Nouvelle Lune,
BONJOUR,
L'argent, encore et toujours l'argent.
C'est ce qui a motivé Gabriel Adrien MARCHAND, 28 ans. Il est né dans les Vosges, dans le village de SEROCOURT dont son grand oncle est le maire.
Bonne Lecture,
Isalucy23@orange.fr
BONJOUR,
On dit de notre meurtrière, Andrée COIGNARD, qu'elle est intelligente mais son air hautain et son ton sarcastique vont jouer en sa défaveur, le jour de son procès.
Andrée Valérie Juliette COIGNARD est née le 30 novembre 1909 à CHOLET (49-Maine et Loire) ; elle a été élevée dans une famille aisée, bourgeoise.Le 9 février 1949, un professeur et son groupe d'élève en excursion au Puits d'Enfer à Château d'Olonne découvre flottant sur l'eau une malle d'où s'échappent des toiles ou tissus. Le professeur avertit les autorités locales qui font appel aux sapeurs pompiers afin de remonter la malle qui s'avère fort lourde. Et pour cause, un corps y est caché. Le corps de Félix Marie Robert THELIER s'y trouve. C'est ce que vont bientôt découvrir les gendarmes chargés de l'enquête.
Il ne leur faudra que quelques jours seulement pour comprendre ce qu'a été la fin tragique de l'homme trouvé dans cette malle marquée des initiales E.T. Les journaux vont relater la découverte morbide et des témoins vont tour à tour venir déclarer les événements dont ils ont été témoins à une heure tardive.
Un chauffeur, M. CHATELAIN, se présentera de lui-même à la police, au Quai des Orfèvres à PARIS, quand il apprendra que la malle qu'il a chargée, dont il devait se défaire, qu'il a transportée et qui ne devait renfermer que quelques documents compromettants et des armes, était en fait celle qui renfermait un cadavre. Il sera en mesure de donner des renseignements sur le couple qui l'a ainsi contacté pour ce travail et où la prise en charge de la malle a eu lieu. Pour les policiers, la piste parisienne qu'il avait déjà envisagée grâce aux éléments vestimentaires de la victime, se confirme.
Il s'agit d'Andrée COIGNARD, une gouvernante, et de Robert PLANET, 28 ans, son complice, recruté par voie de presse pour différentes basses besognes.
Robert Paul PLANET est né à COLOMBES (Hauts de Seine) le 20 juin 1921 (11 H) 116 Rue de Nanterre, d'un père comptable et d'une mère sténographe et petit fils d'un tailleur : Georges PLANET.L'homme, son forfait accompli, a disparu dans la nature. Il faudra moins de 3 semaines à la Police pour le retrouver. Inculpé d'homicide volontaire avec préméditation, Robert PLANET comparaîtra aux côtés d'Andrée COIGNARD, au Procès qui s'ouvre quelques mois plus tard. Leur mobile : l'argent, s'approprier les biens meubles et immeubles du célibataire. Ainsi, après l'avoir attaqué au coeur même de son appartement, ils l'ont contraint à signer, sous la contrainte, chèques et documents afin d'être les détenteurs des ses valeurs dont ils avaient déjà fait le partage. Puis Andrée COIGNARD s'était chargée d'étrangler le vieil homme qu'elle avait endormi préalablement, dans sa chambre.....même si, elle ne reconnaît les faits que tardivement.
Andrée Valérie Juliette COIGNARD sera condamnée à la PEINE de MORT mais cette peine sera commuée en Réclusion à perpétuité par le Président de la République, Vincent AURIOL. Peine qui sera réduite encore et encore puisque Andrée COIGNARD, libérée, se marie en 1967 ; on trouve son acte de décès dans les Bouches du Rhône, à MARSEILLE, en 1998.
Robert Paul PLANET sera condamné à 20 ans de Travaux Forcés.
Bonne Lecture et Bonnes Recherches,
Évelyne LUCAS
BONJOUR,
Alexis PATILLON est né le 31 mars 1860 à 1 h du matin, à PORNIC (44)
Son père est cordonnier, il meurt à 35 ans. Alexis à 10 ans.
Il semble très attaché à son frère (SOLEIL-MERCURE en Maison 3) son aîné de deux ans qui l'assiste lors de son mariage avec Anne Marie COINDET en 1886.
Ensemble, ils sont les parents de 4 enfants : 2 filles et 2 garçons.
Alexis PATILLON est très apprécié dans sa commune. Énergique, volontaire, il est ouvrier charpentier et prend souvent des risques notamment dans son service de Sapeurs Pompiers de PARIS où il avait le grade de sergent.
Le 6 juin 1896, Alexis, 36 ans, est retrouvé mort sur le chemin qui traverse les Mousseaux où il posait une ligne destinée à conduire l'éclairage de la ville. C'est Stanislas, son frère, qui sera présent à la déclaration du décès.
Ces mêmes enfants vont mener à bien leur vie mais la Guerre Mondiale va encore causer 2 malheurs : les décès des deux garçons, Alexis (27 ans) et Fernand (21 ans), Morts pour la FRANCE, en Juin et Septembre 1915.
Bonnes recherches,
Évelyne LUCAS
Il y a moins d'un an, (Mai 2022) elle faisait son entrée dans la Cour de l'Élysée.
BONJOUR,
Le carré solaire on en a déjà parlé ; cela survient environ 3 mois après et avant notre anniversaire
Ainsi, Emmanuel MACRON né le 21 décembre 1977 est SAGITTAIRE ASC CAPRICORNE
Son SOLEIL natal (29°25 SAGITTAIRE) est conjoint à MERCURE natal (29°52) en SAGITTAIRE.
le 19 mars au soir, le SOLEIL sera en approche de cette position et procèdera à un carré au carré natal et d'ailleurs à la conjonction natale. Quelques heures avant, MERCURE aura également formé un carré à cette conjonction natale.
De quoi avoir des difficultés avec un adversaire, de vivre un conflit verbal, peut-être choisirait-il le terme : algarade. Le risque est bien présent d'avoir un geste maladroit et de se blesser (chevilles, poignets, articulations).
L'ASC est transité par PLUTON (29°5.) CAPRICORNE. C'est le moment d'ouvrir les yeux et de se rendre compte de ce qui en vaut la peine.
SATURNE sur le 1° POISSONS est au carré du M.C. De quoi craindre pour son statut social.
Et dans le même temps, SATURNE est opposé à SATURNE natal. Cela marque-t-il un blocage ? la fin de quelque chose. SATURNE est Maître de la Maison 12 et premier Maître de l'ASC.
VÉNUS en SAGITTAIRE (21°48) natale reçoit une opposition de MARS GÉMEAUX (25°..) ; à cette même date, elle sera à 26° donc toujours dans l'orbe d'une opposition. MARS est dans la maison des jeux, des fêtes....
Il est vrai que le 26 de ce mois, un Roi vient rendre visite à notre Chef d'État. Il est temps de balayer les trottoirs de la capitale.
ceci vous ne le verrez pas, c'est une image créée par intelligence artificielle donc une fake news !
Le tournant est un peu sec, brutal. À suivre....
Isalucy23@orange.fr
On sait maintenant que le Président a dû remettre à plus tard cette rencontre avec le Roi Britannique du fait des manifestations et graves détériorations dans la capitale et ailleurs .
BONJOUR,
L'Histoire singulière d'aujourd'hui se situe en Charente-Inférieure (Charente Maritime) à DOLUS.
Elle fait partie des nombreuses Grandes Affaires criminelles de Charente-Maritime relatées par Aline BERNARD.
En Janvier 1903, Pierre GRAS, domicilié au Breuil, vient s'enquérir d'une place ; pour cela, il n'hésite pas à dire qu'il vient de la part de sa mère : Victorine MOUNIER, que le sieur BERTHELOT a bien connue. Pierre GRAS est engagé avec de bons appointements et l'avantage du coucher et du repas.
Pierre GRAS dit Julien, est né à Moëze, le 3 Novembre 1880 (2 H du matin) sous le signe du SCORPION.
Sa physionomie est dure, le front est bas, le visage est anguleux, brun, son regard est fuyant, il est imberbe. telle est la description qui est faite de lui à l'âge de 23 ans. "sournois, jaloux, très intéressé, peu travailleur, ..."Il a fait ses études à MARENNES puis est revenu au domicile familial, aider son père jusqu'à ce qu'il fasse un bref passage (3 mois) en tant que domestique chez le Sieur JOUINAUD.
C'était peu avant son engagement militaire à ROCHEFORT pour 3 ans dans les Colonies ; À cette époque un problème grave chinois a obligé la FRANCE à intervenir, il aurait ainsi participé à ces mouvements hostiles envers les continentaux.
Durant cette période, ses parents se sont séparés. Son père devenu irritable, brutal voire violent avec sa mère et ne bénéficiant plus de la plénitude de ses facultés mentales a du être soigné. Il décède avant la fin de l'enrôlement de son fils que les autorités libèrent pour assister sa mère.
Il trouvera une place dans une usine de St GABAIN mais deux mois plus tard, il tombe malade.
Rétabli, il occupera un emploi de domestique à SAUZELLE et dans le même temps, dès octobre 1901, il fréquente la jeune Constance NADEAU de St Georges ; les jeunes gens semblent bien s'entendre.
En Mai 1902, Pierre GRAS est à St Gilles, chez le Sieur ROBERT, mais quelques mois plus tard, il prend conscience que ce n'est pas ce genre de vie qu'il veut.
Il veut gagner plus ! plus de 15 francs par mois.
Il veut changer de vie !
Et ça commence par ....rompre avec Constance qu'il laisse un beau jour, sans autre explication, après 18 mois de flirt.
Il laisse également son poste chez le Sieur ROBERT et part vers St GILLES où il trouve un emploi chez Louis Alfred BERTHELOT à DOLUS.
Il commence début janvier 1903. M. et Mme BERTHELOT sont travailleurs et économes ; ils rémunèrent bien leur personnel. Et ils sont les parents d'une jeune fille de 18 ans, Élise, qu'il va vite rencontrer puisqu'elle tient la maison de ses parents quand ceux-ci partent à leurs activités (huîtres, champs et vignes).
Élise est gentille, charmante et a un jeune prétendant : Émile MÉNAGÉ qu'elle voit le Dimanche quand Pierre va rendre visite à sa mère.
Très vite, tombé sous son charme, Pierre GRAS va faire la cour à la jeune Élise ce qui va, au bout de quelques temps, gêner la jeune fille d'autant que Pierre GRAS se montre désagréable avec son entourage ou même préfère s'isoler dans sa chambre, se privant d'un repas, quand Émile MÉNAGÉ vient rendre visite à la jeune fille. La situation tendue déplaît tant à Élise, que durant l'été 1903, elle écrit une lettre de rupture à Émile -avec de faux prétextes-.
À cette période là, elle s'aperçoit que Pierre GRAS a fait l'acquisition d'une arme et de munitions. C'est selon lui, pour se défendre. Mais, Élise voit cette initiative avec une grande inquiétude d'autant qu'il ne cesse de la harceler, de lui demander de l'épouser...ce qu'elle ne souhaite pas. Elle profite d'avoir l'entretien de la chambre à faire, pour en l'absence du jeune homme, se saisir de l'objet et des munitions qu'elle cache dans un tout autre endroit.
Voilà déjà deux mois qu'Émile MÉNAGÉ n'a plus le loisir de voir Élise mais son coeur bat encore pour elle. Il demande à être reçu par le couple BERTHELOT afin d'obtenir leur accord pour que la jeune fille l'accompagne à une fête qui se tiendra deux semaines plus tard....un mariage prévu pour le 20 octobre. Les parents d'Élise accèdent à la demande de l'ex-petit-ami et celui-ci prend congé au moment où Élise rentre du bal (elle y est allée avec des amies). Pierre GRAS qui la suivait aperçoit Émile vers qui, la jeune fille, se dirige et ça a le don de le mettre en fureur. Il quitte les lieux et entre dans sa chambre.
C'est là qu'il s'aperçoit que son arme a disparu, c'est ainsi que la mère d'Élise apprend qu'il possède une arme et que son mari prend conscience de la jalousie maladive du jeune homme. M. BERTHELOT s'assurera du départ d'Émile MÉNAGÉ afin qu'il ne soit pas pris à parti dans un trio amoureux.
Le lendemain, Pierre GRAS exige d'Élise qu'elle lui rende son arme. Elle cédera mais ne lui restituera pas les munitions. Qu'importe....! Pierre en a caché d'autres dans un tiroir qu'elle n'a pas fouillé.
Pierre GRAS souhaiterait obliger la jeune fille à l'épouser. Il va jusqu'à faire intervenir sa propre mère, Victorine MOUNIER, qui rendra visite aux parents qu'elle connaît. Ces derniers la recevront et s'entretiendront avec elle et son fils mais ils n'ont nullement l'intention d'intervenir de force dans la vie amoureuse de leur fille qu'ils estiment fort jeune. Ils la voudraient heureuse et libre de ses choix. Pierre GRAS est déçu de cette réponse.
Quelques semaines plus tard, après de nouveaux refus d'Élise, à ses demandes de mariage, il prend la décision de quitter les lieux. Plusieurs déjà ont remarqué dans les conversations qu'ils ont eu avec Pierre de très mauvais présages tant ses propos étaient durs, méchants. Le 29 janvier 1904 Pierre rompt son contrat ; M BERTHELOT n'osera pas faire de retenue sur ses gages après les propos menaçants de son employé. Mais Surprise, deux jours plus tard, Pierre vient lui demander de le reprendre. Élise qui se croyait libre est profondément désenchantée.
Le dimanche suivant, Élise se prépare pour se rendre au théâtre alors que Pierre va au bal. Il surprend tout le monde en annonçant que c'est son dernier Dimanche, que c'est son dernier bal, qu'il leur dit adieu.
Le lundi 1er février, il refuse d'accompagner ses patrons à la pêche sous des prétextes d'ordre personnel. Il est 11 h 30, après avoir traversé la buanderie, la cour, il rejoint dans la cuisine Élise qui est là, près de la cheminée, affairée à des travaux de couture. Mais elle n'a nullement l'intention d'entretenir la conversation avec Pierre. Leurs derniers échanges avaient été très vifs et pour elle : "tout est fini entre eux". C'est à ce moment là que Pierre sort son pistolet et tire dans sa direction. Une balle l'a atteinte mais elle se lève d'un bond et se dirige vers lui qui la repousse brutalement. Il lutte un temps. Deux de ses peignes tombent au sol. Pierre GRAS tire encore 3 coups ; un seul atteindra une nouvelle fois Élise. Elle s'affale sur lui qui l'entraîne vers la table où se trouve un couteau. Il réussit à ouvrir un tiroir, à se saisir d'un couteau à la lame effilée et lui en assène un coup sous le sein. Élise s'effondre sur le sol. Pierre GRAS sort de la maison par la porte de derrière, en direction de la mare dans laquelle il jette l'arme. Puis il empreinte un passage communiquant au jardin des BENOIST où il se débarrasse de son pistolet en le jetant dans la fontaine et prend la route.
Élise qui n'est pas morte, s'est traînée jusqu'au seuil de la maison, elle crie. Alexis AUGER et Ulysse MOGEY qui passent non loin ont entendu ses appels à l'aide. D'autres voisins appelé viennent à leur rescousse. On soulève la jeune fille, on l'assoit sur une chaise. Elle saigne beaucoup. Le médecin-maire prévenu alors qu'il déjeunait est arrivé dans un délai très bref mais quand il arrive, il ne peut que constater l'étendue du malheur. Élise est décédée. Ils l'installent sur un lit. Le maire (abandonnant son rôle de médecin) prévient les autorités.
Pierre GRAS est installé au bistrot où il passe commande pour déjeuner. Auparavant, il est passé voir Théophile ARRIVÉ à qui il a donné rendez-vous après le repas.
À son arrivée, il lui demande conseil : "J'ai un ami qui a donné un coup de revolver à un homme cette nuit. Comment doit-il faire pour se dénoncer ? "
Bien qu'abasourdi par la question, il lui répond que le revolver est une arme prohibée et que cet ami doit se rendre à la mairie ou chez les gendarmes. Vient ensuite le motif de la querelle : est-ce de la légitime défense ? La personne est-elle blessée ?
-"et si, elle est morte ?"
Les deux hommes se séparent bientôt sans que Théophile ait pu répondre à cette dernière question. Théophile comprendra très vite à qui faisait allusion son compagnon. La nouvelle de la mort d'Élise s'est propagée dans le bourg. Il s'apprête à se rendre à la Gendarmerie dénoncer Pierre GRAS quand il aperçoit celui-ci sur le seuil dudit bâtiment. Il comprend dès lors qu'il va se constituer prisonnier. L'enquête va débuter très vite. Pierre GRAS est écroué le 12 Août 1904.
Quatre mois plus tard, à l'ouverture du procès, Pierre GRAS dit Julien est reconnu responsable de ses actes, n'étant atteint d'aucune tare, ne présentant aucun symptôme de folie, de démence, de délire, d'absences... C'est donc dans ces conditions que le portrait du prévenu est tracé : "sournois, jaloux, très intéressé, peu travailleur, ..."
Le procès dure deux jours au bout desquels le verdict tombe : reconnu coupable du crime d'assassinat avec préméditation sans admission de circonstances atténuantes, il est condamné à la peine capitale et que celle-ci ait lieu à SAINTES. Il est raccompagné à sa cellule en larmes, encadré par les forces de l'Ordre et suivi par une foule de personnes.
Le pourvoi est rejeté le 23 Juin.
Le 26 juillet 1904, la peine est commuée en Travaux Forcés à perpétuité,
Le condamné embarque sur le Loire, en décembre de la même année, en direction de la Guyane.
(https://portrait-culture-justice.com/2022/12/arrivee-de-bagnards-en-guyane.html)
L'année suivante, en septembre 1905, il tentera de s'évader ce qui lui vaudra deux années de double chaîne.
cette peine de réclusion à perpétuité fut réduite à 20 ans de T.F. -en 1916- après 3 demandes consécutives....peine acceptée finalement qui sera réduite encore d'une année, suite à différents (9) recours.
Après avoir obtenu une semi liberté sur l'île en 1935, Pierre GRAS dit Julien meurt le 3 octobre 1936, à St LAURENT de MARONI.
Bonne Lecture,
Évelyne LUCAS
BONJOUR,
Quand MARS se trouve au carré de NEPTUNE, on peut craindre une action (MARS), une activité, une ardeur perturbée négativement (car en carré)
Il y a toujours la volonté de défendre un idéal, d'agir dans un but social...mais là l'action n'est plus aussi bien inspirée, instinctive !
NON ! celle-ci est troublée, confuse, déraisonnable, parfois stupide ou incohérente...à moins que ce ne soit le milieu dans lequel cette action s'exerce qui soit trouble ou troublé.
Pour certains, les moyens utilisés seront frauduleux, douteux. On risque de s'égarer.
Pour d'autres, c'est leur émotivité qui va les empêcher d'aller au bout de ces choses dont ils se disent capables.
Lors d'un tel aspect on peut supposer qu'il y aura déception, abandon, trahison, dépression.
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MARS est actuellement en GÉMEAUX et a été au carré de NEPTUNE en POISSONS, deux signes doubles.