Henri BARBUSSE

BONJOUR,

Adrien Gustave Henri BARBUSSE est né le 17 mai 1873 (23 H) à Asnières. 

ce natif du TAUREAU n'a pas moins de 9 carrés, 4 oppositions + 1 au MC 

le Maître de l'ASC en opposition d'URANUS et au carré de MARS, NEPTUNE, MERCURE, VÉNUS.

Suffisamment de FEU (3) sans doute pour combattre tous ceux-là et plus de TERRE encore (4 + ASC) et autant d'EAU (2) que d'AIR (2)

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Il est le deuxième enfant du couple  franco-britannique que forment Adrien, la trentaine, journaliste, et Anne BENSON, anglaise de 30 ans. 

Les parents d'abord installés dans les Hauts de Seine, le font naître à Asnières, avant de s'installer dans le 18ème arr de PARIS où la mère de famille va décéder en Mars 1876 alors qu'il n'a pas encore 3 ans.

Sa maison 3 est très occupée : NEPTUNE (l'inspiration, le flou, le nébuleux...) Maître de la Maison 2, Trigone à JUPITER en Maison 7 ; on y trouve : MERCURE, Maître des Maisons 5, 6 et 8, VÉNUS, deuxième maître de la Maison 3, maîtresse de la Maison 4,  deuxième maîtresse de la Maison 8, maîtresse de la Maison 9 également.

MERCURE et NEPTUNE conjoints sur deux signes différents sont dissonants. Son idéalisme sera-t-il déçu ? 

En 1892, il participe au concours de poésie de l'Écho de Paris de Catulle MENDÈS.

Son premier recueil de poésie "Pleureuses" parait trois ans plus tard. 

La nuit en songes funèbres

Descend du grand ciel dormant, 

Et la lampe doucement

Montre son coeur aux ténèbres.

Ici, il y a déjà plus de PLUTON que d'idéalisme NEPTUNIEN.

Dans le coin silencieux

Naît la fleur crépusculaire...

La douceur du soir l'éclaire

Comme un sourire des yeux.

...

Elle donne sans parler

Sa messe silencieuse ;

Mais la caresse pieuse 

Ne peut pas tout consoler.

Et la reine au palais sombre

A peur de s'évanouir

Ne voulant pas éblouir

Les yeux désolés de l'ombre.

La lampe - ext. des Pleureuses

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Il est désormais littérateur, au 92 Faubourg Poissonnière avec son père : journaliste (à la même adresse). 

En 1908, il publie son premier roman : L'Enfer

Adrien / Henri BARBUSSE épouse alors qu'il n'a pas encore ses 25 ans, la fille cadette de l'écrivain "Catulle" Abraham MENDÈS dont l'influence fut notable à l'époque. La Demoiselle Hélyonne Geneviève MENDÈS n'a que 18 ans passés (étant née en et est autorisée à se marier suite au conseil de famille, dont son tuteur ad-hoc "Catulle" MENDÈS, (son grand-père !...sa mère ne l'a pas reconnue et son père étant décédé en novembre 1887 dans le 16ème) a accordé son aval. 

Le mariage a lieu à Croissy dans les Yvelines, le 18 avril 1898, à 15 H (acte N° 6). Son beau frère, Jean Martin WEBER, agrégé à l'Université, époux de sa soeur  aînée : Florence, y est cité comme témoin.

La présence de VÉNUS en Maison 3 est plutôt favorable dans les relations avec les frères et soeurs. Il y a une bonne entente voire un sentiment amoureux même avec une soeur, une cousine ou une personne proche dans l'entourage.

À 40 ans, la guerre est déclarée et tous les hommes vaillants sont appelés à défendre le pays (PLUTON en Maison 4). Malgré une santé déficiente (problèmes pulmonaires), en août 1914, en tant qu'engagé volontaire, il se trouve dans un régiment d'infanterie (le 231ème). 22 mois dans les tranchés durant lesquels, il tient son propre journal de guerre. Par 3 fois, il sera malade et évacué jusqu'à ce que l'on décide de le réformer.

Il tirera de ses écrits, "le FEU, journal d'une escouade" qui paraît en 1916 et qui lui vaut le Prix Goncourt la même année.

On sera bien forcé de voir que les peuples entiers vont à la boucherie, rangés en troupeaux d'armées, pour que des gens dorés brassent plus d'affaires.

La LUNE est en VERSEAU -  l'URSS en dépend.

MARS en Maison 9 représente la lutte  au service d'un idéal. Également, il est un risque dans des longs voyages, des déplacements lointains, ou de tension dans les relations avec les étrangers. 

Il voyage 6 fois en URSS entre 1927 et 1935.  En 1927, en partie dans le Caucase, pour le Congrès des amis de l'URSS. Il assiste à une conférence des écrivains prolétariens. 

En 1928, dans la région Nijni Novgorod (Crimée) pour le 6ème Congrés de l'International Communiste. C'est l'occasion pour lui de rencontrer dans son bureau, STALINE. Il mettra en route son livre sur la Géorgie, symbole de l'Impérialisme Soviétique pour la plupart, lui veut démonter comment les soviétiques favorisent l'identité culturelle géorgienne. 

 En 1932, au Dnieprostroï  - STALINE lui offre sa place au Théâtre du Bolchoï ; durant l'été 1933, durant l'automne 34 et durant l'été 1935. 

Il y meurt le 30 août 1935 à MOSCOU alors qu'il a obtenu la même année d'être le biographe officiel de STALINE. Son cerveau y est prélevé et conservé à l'Institut du cerveau de MOSCOU pour y être étudié... et comparé à ceux de LÉNINE, de Klara ZETKIN.

Bonnes Recherches,

isalucy23@orange.fr