samedi 19 août 2023

Né un 19 Août, TELLET LARENTE

 BONJOUR,

Il était né le 19 août 1904 (21 h 15) à BORDEAUX 

Il s'agit d' André Alexandre TELLET LARENTE 


Il est né sous le signe du LION et est ASC BÉLIER

Son thème fait de FEU (4+ASC soit 5) devançant la TERRE (3 + MC soit 4) et l'AIR (2)  ; on note donc un léger manque d'EAU (1)
Il est relativement avantagé (trigones, sextiles) même si l'opposition de SATURNE au SOLEIL et le carré URANUS à MERCURE ou encore le carré MERCURE PLUTON restent des aspects extrêmement difficiles qui expliquent certains travers : 
Pétulant, vif-argent, rageur, il n'avait pas bon caractère. Il était incapable de garder pour lui une critique, un reproche ; malgré tout, il explosait. Aussi n'avait-il pas que des amis. Il se ferma des portes, mais celles qui restaient ouvertes le récompensaient de ses déboires. Il savait qu'il pouvait y trouver de la sincérité, de la loyauté, ce qui valait mieux que la fréquentation de gens à double-face, hurlant avec les loups et d'une opinion vacillante.
J'avais une profonde affection pour ce jeune mousquetaire de l'espace au regard perçant, au sourire ironique, même dans les coups durs ; à la parole vive, mais toujours pleine de spirituelle fantaisie "

Il fait un apprentissage à Toussus le Noble (Les Yvelines).
Ce jeune homme est mineur quand ses deux parents décèdent en 1922. Une mesure d'adoption, par la Nation, des enfants a été prise un an auparavant, à la demande du père. Malgré tout, ils sont entourés de leurs grands parents paternels, seuls encore vivants.
Il obtient son brevet de pilote militaire en mars 1924.
En 1925, Alexandre épouse Henriette, une nancéienne ; ensemble, ils seront les parents de 5 enfants.


Les journaux plutôt que de relater simplement l'accident d'avion dans lequel le pilote d'AIR FRANCE  décède, mettent l'accent sur la carrière brillante de ce jeune homme (35 ans), marié, "millionnaire" de kilomètres de vol (1 300 000 kms) en 1937, pilote de ligne depuis sa sortie de l'Armée à l'Aéropostale (1929), puis à la CIDNA six mois plus tard, il s'était fait remarquer par sa maîtrise et le perfectionnement de sa technique et détenait 7 300 heures de vol. 


Concernant l'accident, on peut lire également : le vendredi 27 janvier 1939, le Potez 62 n°4 "Courlis"
se présente en approche à COLOGNE en provenance de PARIS.
En raison de la brume et de la visibilité médiocre, le pilote se fait guider par les postes radiogoniométriques allemands (qui seront mis en cause lors de l'enquête). Suite à des erreurs de relèvements, le pilote aborde  sa finale alors qu'il se trouve à 14 kms de son but. En survolant le village de Knapsack (Hürth) à basse altitude, l'avion percute une cheminée d'usine masquée par la fumée d'usine. 
Le pilote, le radio, le stagiaire pilote, l'ingénieur et deux passagers (dont Raoul CIVET, journaliste au Petit Dauphinois) vont décéder dans l'accident.

Bonne Lecture,
isalucy23@orange.fr

2 commentaires:

  1. Asc bélier vous voulez dire !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. OUI MERCI de m'avoir "reprise" ; la rectification est faite. Bonne Journée

      Supprimer