BONJOUR,
L'aspect du jour marquera les nouveaux-venus sur cette terre: MARS est conjoint à NEPTUNE.MARS trône dans deux signes BÉLIER et SCORPION
il est en exil dans le signe de la BALANCE et du TAUREAU
il se trouve en exaltation dans le CAPRICORNE
il est en chute en CANCER.
Action, lutte, désir, pulsion, élan, combativité, agressivité, conquête, courage. Le fer, le feu, la tête...
est exalté en LION
est en exil en VIERGE
il est en chute en VERSEAU
C'est la FOI, la croyance, le merveilleux, le rêve, l'intuition, mais également l'envoûtement, le mirage, l'endoctrinement, la fausseté, la facilité, la faiblesse, le laisser-aller, le mensonge, le leurre, le vol, l'abus de confiance, le brouillard, les inondations, l'eau, la mer, la peinture, la fugue, le rapt, le vol, la fraude, ....
Dans le domaine de la politique...c'est le socialisme.
Il s'agit de défendre un idéal.
C'est une action en direction d'une cause sociale, humaine.
C'est le besoin de réaliser un rêve et de lutter pour ce rêve.
son terrain est vague, flou, nous sommes en plein brouillard.
Nous risquons donc de ne pas comprendre les vraies raisons, les justifications de l'action.
Il s'agit d'une envie, d'inspiration, de sensation, de foi, de croyance
et c'est si flou, que dans ce brouillard, on peut faire des erreurs,
des erreurs de jugement ou des erreurs sur les moyens employés.
NEPTUNE est trompeur ; il dilue ;
Menteur, il embellit, illusionne, enchante, devient mirifique, trahit...
HADÈS écrit dans son "livre des aspects astrologiques" :
conjonction bonne en faveur de buts spirituels et néfaste pour des buts matériels
Selon HADÈS également : MARS conjoint à NEPTUNE : disparition d'un amour dans des circonstances troubles.
C'est un cultivateur ; il se rend à ses obligations militaires en 1878 (pour 5 ans), soldat au 100ème R.I. Entre décembre 1881 et mars 1882, il est nommé ordonnance du capitaine attaché à l'État Major Général du Ministre de la guerre. Celui-ci dira de lui plus tard : "il avait des idées de grandeur" "il disait qu'une dame riche l'ayant pris en affection devait lui assurer une fortune lors de sa libération du service militaire"
mais, le jeune homme sera libéré avant la date butoir de son service, ses deux parents venant de décéder. Il n'a plus désormais que ses soeurs comme parents proches.
En janvier 1884, le cultivateur épouse une veuve : Marie ALBERT de 20 ans son aînée.
Il est malgré tout soupçonné de méfaits (disparition d'animaux), de vols qui surviennent dans le village, sans que les preuves contre lui soient évidentes.
Le 25 mars 1886, sa vieille voisine Jeanne BENASSIT veuve de Pierre SEBILLAUD, du village de la Font-des-Hérauds, est retrouvée morte dans sa cuisine. On lui a dérobé ses biens et son argent qu'elle cachait soigneusement dans son armoire dont elle gardait la clé sur elle.
Les gendarmes recherchent donc un proche, un voisin ayant connaissance de ces détails....C'est là que leur regard se tourne vers Émil FURET, 29 ans, ou son beau-frère : Pierre HENRY -39 ans-.
Ils seront entendus tous les deux et leur emploi du temps sera examiné avec sérieux. De son côté, le médecin chargé de l'autopsie affirme que les doigts de Pierre HENRY sont trop gros.....et que malgré une blessure lui ayant atrophié l'index droit, les doigts d'Émil FURET correspondent mieux.
L'homme a vite compris que l'étau de la Justice se resserrait sur lui. Il est arrêté. Mais, Émil FURET est un malin et il profite d'un moment d'inattention pour prendre la fuite. Les villageois se mobilisent. Une battue est organisée. FURET est déjà loin mais il sera reconnu par des voisins qui empruntent le même train que lui. BORDEAUX, NARBONNE, PERPIGNAN 10 jours qu'il court en écumant les débits de boisson au hasard des rencontres. Enivré, il se fera remarquer, importunant une serveuse qui s'était dans un premier temps montrée peu farouche.
Émil FURET lassé de la présence de Bertrand qui depuis quelques jours le suit dans son périple, va bientôt se retourner contre ce compagnon de voyage qu'il va agresser, tentant maladroitement de faire passer son crime en suicide.
Le 21 avril, Émil FURET enfin interpellé, est présenté au Juge d'Instruction à JONZAC. Ses propos sont mensongers. Contre toute attente, le 24 avril, Émil FURET écrit une lettre d'aveux destinée au Juge d'Instruction devant qui il va réitérer ses aveux concernant les deux meurtres. Par la suite, il fera varier la version des faits. (jusqu'à 8 versions)
Le procès s'ouvre le 13 août 1886. Les avocats ont des buts diamétralement opposés. Le Jury va trancher aussi net que le bourreau qui sera chargé de la tâche.
Le 11 novembre 1886, au petit matin, Émil FURET, pâle, sans opposition, sera exécuté.
On l'a vu revenir à ses "anciennes amours" (secouriste durant 6 ans) il revêt le gilet pour une nouvelle campagne. Il est parrain également de la Fondation pour la Recherche Médicale (maladie d'Alzheimer).
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